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Les circuits de distribution des cosmétiques bio

La distribution de cosmétiques bio ne se limite plus aux petites boutiques indépendantes et aux magasins biologiques comme Naturalia, Biocoop et La Vie Claire. Désormais, toutes les grandes chaînes de parfumeries telles Marionnaud, Sephora, Nocibé et Douglas offrent des produits de soins naturels ou labellisés bio. On note également leur apparition dans les rayons de la grande distribution, chez Carrefour, Auchan et Monoprix entre autres. Le Printemps et les Galeries Lafayette ont également créé des espaces dédiés aux cosmétiques naturels et bio. La vente par Internet décolle littéralement, avec environ 200 sites aujourd’hui, alors qu’ils n’étaient qu’une petite vingtaine il y a deux ans.

Tous les circuits de distribution veulent référencer des cosmétiques bio ; ces derniers sont devenus incontournable dans leurs rayons hygiène-beauté. Naturalia est même allé plus loin dans la concentration de ce phénomène, en ouvrant les premiers Naturalia Beauté Bio, magasins consacrés aux produits de beauté et d’hygiène bio. En effet, des études ont montré que les clients étaient peu enclins à effectuer leurs achats de cosmétiques au même endroit que leurs courses alimentaires. D’une manière symbolique, les consommateurs ont besoin de retrouver la dimension traditionnelle de la parfumerie. En effet, ils plébiscitent ce cadre particulier qui confère à l’acte d’achat, le glamour et l’exaltation des sens en beauté.

Dans cette quête de sensorialité et de plaisir au naturel, les instituts de beauté se mettent aussi au bio : Florame, Doux Me et Phyt’s se sont bâti une réputation auprès d’un vaste réseau d’esthéticiennes.

Cette étendue générale des réseaux de distribution témoigne d’une véritable démocratisation du marché des cosmétiques biologiques. Leur présence en tout point de vente confirme leur potentiel de croissance très élevé, tendance favorisée par les attentes des consommateurs de plus en plus demandeurs.

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